Racisme, laïcité et jeunesse

Nous tenterons par le fil de l’histoire d’éclairer le présent de la Nouvelle-Calédonie, collectivité territoriale à statut particulier, inscrite sur la liste des territoires à décoloniser de l’ONU mais, engagée dans un processus d’autodétermination, de reconnaissance de l’identité kanak et de rééquilibrage.

Les acteurs, étudiants en DEUST théâtre de l'université de Besançon, vous préparent une (deuxième) surprise !

Pour ce second rendez-vous, ils ont travaillé sur les œuvres de Riad Sattouf. Il y sera question de bandes dessinées – L’arabe du futur, les cahiers d’Esther –, de films, de Charly Hebdo et d’une enfance en Syrie.

En partenariat avec Le théâtre du Pilier.

Le travailleur social, à travers de multiples lois et dispositifs, est souvent assigné à « normaliser », c’est-à-dire à rendre acceptables les situations des personnes qu’il reçoit et accompagne. Pourtant, face à des précarités indignes ou des blocages administratifs inacceptables, le travailleur social a souvent contesté et agi, sinon pour changer les choses, du moins pour provoquer le débat.

Le changement climatique est aujourd’hui une actualité brûlante, c’est le moins que l’on puisse dire. Boris VOIGNIER propose à partir d’un récapitulatif des problématiques qui la questionnent – notre addiction aux énergies fossiles, l’écologie, l’environnement, la justice sociale, la biodiversité, etc. – de comprendre le lien qui existe entre elles, et surtout de penser et partager des idées qui peuvent à court terme non seulement permettre d’éviter le pire, mais surtout, de se sentir concernés, d’entrer en action et de préparer notre adaptation. 

Atelier interactif et intergénérationnel. On y travaille les liens entre son histoire personnelle et son époque. On réfléchit ensemble sur ce qui change dans notre société : les valeurs, les mœurs, les comportements, les liens entre nous.
L’atelier a souvent un effet de prise de conscience individuelle et collective. Entre citoyens, on parle de notre pouvoir d’agir. On réalise une frise murale pour garder trace de nos échanges.

Le principe de ces rencontres est simple : d’une séance à l’autre, on choisit un sujet, on recueille des opinions (presse écrite, radio, réseaux sociaux, TV, etc.), on vient avec ce qu’on sait, ce qu’on a appris ; on vient pour partager et écouter, savoir ce qui se dit, par ailleurs.

Le principe de ces rencontres est simple : d’une séance à l’autre, on choisit un sujet, on recueille des opinions (presse écrite, radio, réseaux sociaux, TV, etc.), on vient avec ce qu’on sait, ce qu’on a appris ; on vient pour partager et écouter, savoir ce qui se dit, par ailleurs.

Le principe de ces rencontres est simple : d’une séance à l’autre, on choisit un sujet, on recueille des opinions (presse écrite, radio, réseaux sociaux, TV, etc.), on vient avec ce qu’on sait, ce qu’on a appris ; on vient pour partager et écouter, savoir ce qui se dit, par ailleurs.

Le principe de ces rencontres est simple : d’une séance à l’autre, on choisit un sujet, on recueille des opinions (presse écrite, radio, réseaux sociaux, TV, etc.), on vient avec ce qu’on sait, ce qu’on a appris ; on vient pour partager et écouter, savoir ce qui se dit, par ailleurs.

La Mère, la Femme fatale, la Mystique, la Résistante… Ces archétypes féminins, tout stéréotypés qu’ils soient, nous parlent de ces figures de femmes comme autant de facettes sous lesquelles on apprécierait un portrait complexe. La Cantarelle célèbre ces figures à travers un programme vaste et contrasté, dans un répertoire s’étendant sur plus de 500 ans de musique chorale.

Attention : Cette conférence a lieu à 19h30